NEW YORK – Le coach de Kovalev, John David Jackson, a fraîchement en mémoire le moment où Kenny Kost et Darnell Boone ont sérieusement mis en difficulté Andre Ward, lors de la première année du médaillé d’or Olympique chez les pros.

 

Toujours invaincu, Ward a depuis tenu tête à de biens plus durs puncheurs, mais le coach de Sergey Kovalev reste ferme. Selon lui, Ward aura beaucoup plus de mal à composer avec les mains lourdes de son combattant, Samedi soir à Las Vegas.

 

À l’âge de 32 ans, Ward (30-0-0, 15 KOs) de Hayward en Californie, et Kovalev (30-0-1, 26 KOs), un boxeur Russe de 33 ans, sont schedulés dans un combat de douze rounds, au T-Mobile Arena de Las Vegas, avec à l’enjeu les titres IBF, WBA et WBO de Kovalev.

Il s’agira du premier pay-per-view sur HBO pour les deux boxeurs (qui sera au prix de 64.95$ et 69.95$ en HD).

« Il s’est déjà fait touché, » a tout d’abord dit Jackson en se basant sur le fait que Ward a déjà été en mode survie contre Kost en Février 2005 de même que contre Boone en Novembre 2005.

« Je ne dirais pas que cela fut relié au poids. Il a été touché par des gars plus petits que lui. Voici ce que j’ai toujours dit à propos de ceci – si tu touches un gars avec le coup approprié, tu peux lui faire mal. Et c’est arrivé dans une catégorie de poids inférieure. »

« Quand Sergey va l’atteindre avec des coups de puissance, sera-t-il en mesure de prendre les frappes ou bien est-ce qu’il va rejoindre le sol ? Je dirais pour ma part, qu’il ira au sol. Mais écoutez … s’il peut éviter ou esquiver les frappes de Sergey, alors on aura droit à un combat intéressant. Un boxeur versus un puncheur. Et il est le boxeur, donc nous verrons bien. »

 

Une chose que Jackson sait assurément, c’est que la force de frappe de Kovalev est exceptionnelle. L’ex-champion WBA des poids moyens et l’ancien tenant du titre WBO des super-mi-moyens sent à chaque fois la puissance dévastatrice de Kovalev à chaque fois qu’il s’adonne aux pads avec lui :

« Sa puissance est rare, » a dit Jackson. « J’ai eu un petit nombre de gars qui avaient ce type de puissance. Randall Bailey avait le « one punch knockout. » Sergey l’a aussi. C’est un atout rare pour un combattant. Il est béni d’avoir ce type de puissance. Si tu regardes comment il est fait, il n’est pas un type si gros et si musclé. Mais quand il te touche, tu te dis : « Man, ce gars-là a tout un punch. » » 

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Last Update: novembre 15, 2016