Le légendaire Gym de boxe (situé à Detroit), « le Krock Gym », où des illustres champions ont évolué tels Thomas Hearns, a été détruit par le feu.
Le chef adjoint du service d’incendie, Dave Fornell, a mentionné Dimanche, via The Detroit News, que l’incendie dans le Gym inoccupé situé dans le Sud-Ouest de la ville a été rapporté aux alentours de 9:30 pm. Samedi.
Une fois présent dans l’édifice, les pompiers ont fait le constat que les flammes étaient déjà en train de se propager au second étage. La toiture s’est plus tard effondrée.
Fornell a indiqué que le feu est considéré comme suspect et qu’il fait l’objet d’une enquête :
« Nous avons tenté d’éteindre le feu de l’intérieur mais à cause du réel danger de l’effondrement de la toiture en dedans, le chef a dû faire sortir la troupe à l’extérieur et nous avons combattu le feu de dehors. » a dit Fornell à la presse.
« Les deux immeubles autour du building étaient presque libre, il n’y a pas voisinage. Le feu a été en mesure de se répandre considérablement avant qu’il n’eût été finalement détecté. Ce fut malheureusement une partie de l’histoire qui a été détruite. C’est vraiment triste que nous ayons perdu cette merveille architecturale. »
Le légendaire entraîneur, Emanuel Steward a fondé programme du Kronk Gym, en 1971. Le premier champion de boxe professionnel du Gym, Hilmer Kenty, en remporté le titre WBA en 1978. Mais c’est Thomas Hearns qui a réellement mis le Kronk et Steward sur la map, lui qui s’est approprié cinq titres mondiaux et a bouclé sa carrière pro avec un fiche de (61-5-1, 48 KOs).
Le building a fermé ses portes en 2006.
Hearns était naturellement envahi par l’émotion quand il a été mis au courant de l’incendie :
« C’est vraiment triste de voir que les gens n’accordent pas de valeur à cet endroit comme nous l’avons fait, » a dit Hearns, 58 ans, à la presse.
« C’est building m’a apporté une chance de m’accomplir dans la vie. J’ai eu la chance de devenir une personne fière dans ce building. De le voir maintenant dans cet état est pitoyable – c’est vraiment pitoyable. »
« J’espère qu’à Detroit cela à une presque aussi grande signification pour eux comme il en est pour moi. Ceci était un lieu de refuge pour moi. »