Wilder a dit que son entraineur Mark Breland a été averti sur la façon dont il a voulu que son coin soit géré, et qu’il n’a pas pris sa décision à savoir s’il va couper les ponts avec lui.
Il faut seulement remonter à quelques jours depuis que Deontay Wilder (42-1-1, 41 KOs) a été dramatiquement stoppé par Tyson Fury (30-0-1, 21 KOs), perdant ainsi son titre WBC, et bien sûr, il a depuis été question de toutes les retombées.
Wilder a mis le blâme sur son lourd costume qui a épuisé ses jambes, et il a ouvertement critiqué l’un de ses entraîneurs, Mark Breland, qui dit-il, sous le coup de l’émotion, a pris une décision individuelle en lançant la serviette.
Jay Deas, qui est l’autre entraîneur de Wilder, a immédiatement déploré la décision de Breland d’avoir exigé l’arrêt du combat, et Wilder a exprimé son grand désappointement à l’endroit de Breland, qui dit-il, sous l’impulsion du moment, a pris une décision individuelle, alors que Wilder avait strictement avisé son équipe de ne pas agir ainsi dans pareille situation :
« Pour Mark, qu’il eût fait cela, j’ai eu vraiment le cœur très brisé, » a dit Wilder.
« Si je dis des propos tels : Je veux tuer un homme dans le ring, alors je dois me conformer à ces mêmes principes dans le ring comme quoi cette personne peut me faire subir la même chose à moi ! »
« Je préfère mourir dans le ring que de sortir du ring, alors que quelqu’un de mon équipe vient de lancer la serviette ! »
« Il sait très bien ces choses ! C’est quelque chose de prémédité ! J’ai dit ceci durant des années ! J’ai dit à tous mes entraîneurs que peu importe dans l’état ou je me retrouve, peu importe comment vous m’aimez, que vous soyez pris par l’émotion, ne prenez pas une décision sous le coup de l’émotion, et ne lancez jamais la serviette puisque ma fierté c’est tout pour moi ! »
« Je comprends l’impression donnée, mais quand tu possèdes le type de puissance que j’ai, je ne suis jamais sorti d’un combat, et ce quelles que soient les circonstances ! Je ne suis jamais sorti d’un combat ! »
Wilder a continué d’insister jusqu’à quel point cette action de Breland lui a lui fait mal, même s’il dit toujours aimer l’entraîneur. Mais pour l’instant, toutefois, Wilder n’a pas encore pris une décision officielle quant à déterminer si, oui ou non, il va rayer Breland de son équipe, en disant que la décision sera prise une fois qu’il sera revenu de son voyage en Afrique.