L’aspirant aux titres des lourds, Jarrell Miller, a nié avoir intentionnellement pris des drogues améliorant les performances en relation avec son test le plus récemment échoué.

Selon Miller, son test antidopage échoué dernièrement a été causé par des pilules qu’il utilisait pour améliorer les performances sexuelles.

L’année dernière, Miller a testé positif pour plusieurs substances interdites, et il n’a donc pu saisir l’opportunité lucrative de combattre le champion unifié, Anthony Joshua, au Madison Square Garden, à New York City.

Après avoir été banni pendant six mois sous la WBA, Miller avait été schedulé pour retourner en Juillet, lui qui venait de s’entendre avec la firme de promotion Top Rank.

Miller devait combattre Jerry Forrest, au MGM Grand Conference Center, à Las Vegas. Mais une fois de plus, Miller a testé positif à une substance interdite, et il a été retiré du combat.

Miller a testé positif pour la drogue de performance GW501516, et il est depuis temporairement suspendu par la Commission Athlétique de l’État du Nevada (NSAC).

Peu de temps avant son combat prévu avec Joshua, Miller a testé positif au GW501516, EPO, et aux hormones de croissance (HGH).

Miller dit avoir des documents provenant du Korva Scientific lab, à Los Angeles, qui appuient ses dires à l’effet que la présence de GW501516 a été trouvée dans les stimulants Black Ant, qu’il a pris 30 jours ou plus avant son combat prévu avec Forrest.

Le boxeur invaincu, Miller (23-0-1, 20 KOs), prévoit présenter les documents à la NSAC.

Miller a aussi affirmé avoir testé positif l’EPO et aux HGH du fait de l’utilisation de cellules souches pour soigner une blessure au coude.

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Last Update: septembre 24, 2020