Selon le champion WBC des lourds, Deontay « The Bronze Bomber » Wilder, celui-ci a combattu malade, lors de son premier choc avec Luis « King Kong » Ortiz, en Mars 2018.
Wilder (41-0-1, 40 KOs) a stoppé Ortiz (31-1-0, 26 KOs), au 10e round, après avoir enregistré deux knockdowns, mais il s’est aussi retrouvé lui-même dans le trouble, quand Ortiz l’a touché durement, au 7e round.
Le rematch Wilder vs. Ortiz est schedulé pour se tenir, Samedi soir prochain, au MGM Grand, à Las Vegas.
Puisqu’il était malade, Wilder croit que sa performance a été affectée. Cette fois, le puncheur Américain a dit s’attendre à livrer une performance encore plus convaincante :
« J’ai l’intention de battre Ortiz d’une manière encore plus dramatique. Lorsque nous avons combattu ensemble la première fois, j’ai eu une mauvaise grippe. Je ne pouvais pas faire annuler le combat. Je voulais plutôt être en mesure de faire des choses dont les autres combattants ne devraient ou ne pourraient pas faire, » a dit Wilder.
Wilder s’attend à ce que Ortiz puisse apporter beaucoup d’ajustements depuis leur premier duel. Mais Wilder dit que ce sera tout aussi le cas pour lui :
« Avec Ortiz, nous savons qu’il est un combattant intelligent, et un bon contre-attaquant. Il est vraiment bon dans ce qu’il fait. Je suis la seule personne dans le Top 5 qui lui donne cette opportunité, » a dit Wilder.
« Je ne pense pas avoir lancé assez de jab sur lui dans le premier combat. Le positionnement de mes pieds n’était pas aussi bon que cela aurait dû l’être. Les mouvements que nous devons faire donne plus d’inconfort, lorsque tu as un combattant orthodoxe qui affronte un boxeur gaucher. J’ai vraiment très hâte de disputer un autre super combat ! »
« Je prévois mettre Ortiz sous tension. Je n’ai jamais été bon pour donner des prédictions. Mon énergie pour ce combat me faire dire à tout le monde, faites attention dans ce tout premier round ! … Je suis ce genre de combattant qui une fois à l’œuvre, tu ne peux pas cligner des yeux. Les fans sont toujours sur le bout de leurs sièges, puisqu’ils ne savent jamais ce qui va arriver. »
